JAYMIE ; « don't wanna hear your sad songs »

GIMME GIMME A MAN AFTER MIDNIGHT

JAYMIE ; « don't wanna hear your sad songs » Bannst11

Nom :

Calloway. Non, pas comme les bâtons de golf. Je porte le nom de mon cher père, celui qui a passé sa vie à voyager sans daigner m'accorder l'attention qu'une jeune enfant de 5 ans réclame à son géniteur. Vous l'aurez compris, mon patronyme ne me plaît pas ; il est présentement la seule chose qui me relie à mon paternel, celle qui ne cesse jamais de me rappeler à quel point il a échoué dans son rôle de parent.

Prénoms :

Jaymie November, amis la plupart des gens ne s'embarrasse pas de mes deux prénoms et préfèrent de loin m'appeler Jay. Simple et rapide, pas de noms kilométriques. Mon second prénom vient de mon mois de naissance, il faut avouer que mes parents étaient très inspirés..

Âge :

Vingt-et-un ans; la majorité, la clé de tous les possibles ! En effet, ça donne envie de crier de joie. La liberté, enfin ! Mais bon, majeure ne veut pas dire responsable, encore moins ordonné et sérieuse. Malgré moi, je resterai une éternelle adolescente qui mange à même le pot de nutella et qui entretient très peu sa chambre .

Statut ( célibataire, marié, en couple.):

Célibataire, mon cher ! Et sincérement, l'amour est la dernière chose dont j'ai besoin présentement, à moins que je ne me trompe.. Les choses sont si compliquées que je ne m'y retrouve plus moi, dans tout ce bazzart !

MAKE THREE WISHES

Pseudo

Untouched*

Avatar :

Jessica Stroup I love you

Comment as tu découvert FG :

sur Bazzart (:

Autres commentaires :

J'aime beaucoup le design, ça sort de l'ordinaire et c'est plutôt joli ! Le contexte est simple, mais également attrayant. bref, bravo au staff ^^

SHOW ME YOUR DIRTY THINGS

« Personne ne parle en notre présence comme il en parle en notre absence. L'union qui est entre les hommes n'est fondée que sur cette mutuelle tromperie. » - BLAISE PASCAL

Les apparences sont souvent trompeuses. Sans qu'on en soit pleinement conscient, elles dissimulent le pire de nous même, le côté sombre qu'on tient à garder dans l'obscurité. C'est pour cette raison que les gens tranquilles et sans histoire sont souvent ceux qui cachent les pires secrets. Au fond, sauver les apparences est ce qui importe le plus. Du moins, pour le reste des gens qui ne sont pas moi. On disait des Calloway qu'ils formaient une famille parfaite. Deux parents aimants, des enfants respectueux et bien élevés. Monsieur travaillait dans la finance, ce qui l'obligeait à quitter son domicile trop souvent aux goûts de ses proches. Madame restait fidèlement à la maison, se chargeant de l'éducation de ses enfants et des tâches ménagères. J'ignore si ma mère avait des rêves jadis. Si elle avait souhaité faire une carrière ou si elle avait réellement désirer être mère au foyer. Personnellement, cette femme, bien qu'elle m'ait mise au monde, je ne l'ai jamais comprise. Enfant, je la croyais forte et indépendante, du genre qui ne se laissent pas facilement faire. En vieillissant, mon point de vue à changer. Grandir nous permet de voir les véritables choses, telles qu'elles sont. Alors, ma mère est devenue une inconnue. Elle ne représentait plus la force de caractère que je lui avais assimiler; elle était faible et irrespectueuse de sa personne. Elle savait pertinemment que mon père la trompait avec sa secrétaire et que ses réunions improvisées n'en était pas vraiment. Néanmoins, elle sauvait les apparences, continuant de jouer les naïves. Je me suis souvent quereller avec elle pour cette raison et son discours me dégoûtait à force de l'habitude.

Jaymie, tu ne me comprends pas et je..

Tu as parfaitement raison ! Je ne te comprends pas du tout. N'as-tu donc aucun respect pour toi-même ?! Tu mérites beaucoup plus. Tu te contentes d'un homme qui déballe ses mensonges à chaque fois qui rentre de la maison et tu sais le pire dans tout ça ? Tu te mens à toi-même. Tu sais tout et tu n'assumes pas qu'il ne puisse pas être l'homme parfait que tu as épousé !

Jaymie November Calloway ! Change de ton immédiatement ! Tu peux être en colère et ne pas comprendre mes actes, mais respectes-moi, je suis ta mère bon sang !

Comment veux-tu que je respecte une femme qui tolère ce que papa fait ?

Je dois l'avouer, ce soir-là, j'y suis aller fort. Elle venait de déposer le combiné du téléphone sur son support. Pas besoin d'avoir entendu leur conversation pour savoir ce qui lui disait à l'autre bout du fil: « Désolé chérie, j'ai beaucoup de travail ce soir, je ne vais pas pouvoir rentrer pour le souper. Ne m'attendez surtout pas, je crois que j'en ai encore pour trois bonnes heures. » Ce n'était même pas à moi qu'on mentait - directement, s'entend - et je trouvais déjà que cette excuse devenait incrédule parce que trop utilisé. Étrangement et inexplicablement, je haïssais plus ma mère que mon père dans l'histoire. Je détestais la voir ainsi, vulnérable, amis comme elle ne faisait rien pour arranger les choses ou du moins, les changer, elle devenait la victime toute désignée de ma fureur. J'avais quinze ans à l'époque et déjà à cet âge, je me promettais de ne jamais être comme elle, de rester forte, indépendante et de ne jamais me montre vulnérable. Jamais.

« Les garçons seront toujours des garçons. Et cela n'aurait pas d'importance si l'on pouvait empêcher les filles de rester des filles. » - ANTHONY HOPE

L'adolescence pour moi a été la plus belle période de ma vie. Si ç'avait été possible, je n'aurais jamais grandi - serait-ce pour cette raison que je n'ai pas encore atteint ladite maturité qu'apporte l'âge ? - et serais rester dans ce monde où un rien semble la fin du monde et où les expériences, peu importe le domaine, restent gravées dans les esprits, éternelles et indélogeables. Je n'ai jamais été considérée comme populaire au lycée, mais je ne faisais pas partie des ringards. En fait, j'étais de celles qui n'était pas cataloguée ce qui m'arrangeait. Porter une étiquette toute sa scolarité, c'est chiant. Surtout si vous faîtes parties des intellos à qui on fait le spires coups. Non, moi j'étais dans les inclassables. Je n'étais pas dans la moyenne. J'étais bonne à L,école, amis pas au point qu'on me récompense pour mes notes. J'étais populaires, mais pas au point que tout le monde sachent mon nom. Les filles ne m'aimaient pas. Je me tenais avec des garçons ( la vie est tellement plus simples comme ça ! ) et elle jalousait mes rapports avec ces derniers. Cependant, elles ignoraient qu'ils me traitaient tous comme leurs petites soeurs et non pas comme une potentielle petite-amie. Je n'en étais pas gênée, après tout, ils étaient également mes frères. Je ne me suis jamais prise au sérieux et l'arrogance ainsi que l'ironie ont toujours été mes points forts. J'étais loin d'être girly en fait. À ma connaissance, j'ai eu deux amies qui n'était pas de la gente masculine. Et l'amitié que j'entretenais avec elles n'a jamais passer le capte des trois mois: je les trouvais plutôt ennuyeuse, avec leurs conversations sur le maquillage et sur les garçons. Bien sûre, j'ai évoluée depuis ( pas énormément, mais tout de même ! ). Je suis plus féminine et je supporte la présence des filles, même que j'ai sympathiser avec certaines d'entre elles. Je continue de préférer la compagnie des mecs et mon frère me charie toujours là-dessus.

Dis, Jay ! J'ai une question pour toi..

Ça promet... Quoi ?

Tu comptes agir en mec encore bien longtemps ? Parce que j'en ai marre de voir l'appart dans ce bordel et faudrait bien qu'une femme y fasse le ménage.

Pourquoi ne t'en charegs-tu pas ? Après tout, entre toi et moi, tu es ce qui ressemble le plus à une femme, n'est-ce pas ?!

Très drôle, Jay. Vraiment hilarant. Tu devrais te lancer dans le comiqu, tu sais ?

Arrêtes, tu vas me faire rougir. Et puis, si je fais carrière dans l'humour, plus personne ne rira des blagues de l'aîné des Calloway, t'imagines la honte ! Battue par sa petite soeur.

BIENVENUE

WELCOME

Bienvenue.

BIENVENUE

Bienvenue .

Merci à tous ! I love you

désolée du double poste;

Je crois avoir terminée ma fiche I love you

Je valide.

merci (:

Bienvenue. I love you

» Valheemya ~ I wanna feel it in your heartbeats

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