Alec Harter-Paxton
Nombre de messages : 20 Age : 33 Pseudo : Emmecie Date d'inscription : 15/10/2009
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| Sujet: ALEC • they know i`m priceless. especially ladies. Jeu 15 Oct - 21:38 | |
| ♦ GIMME GIMME A MAN AFTER MIDNIGHT
♦ Nom : « Je porte celui de mes deux parents. À défaut de me donner un prénom qui a plus de quatre lettres, j'ai eu droit à la flopée de noms de famille. Paxton, c'est celui de ma mère, je crois que mon grand-père pouvait pas supporter qu'on ne continue pas la lignée, c'était la première née de la famille depuis vraiment longtemps. Ouais j'sais j'vous soule avec l'histoire de ma famille, mais au moins si ça en soule d'autres, j'serai pas tout seul à écopper. Harter, c'lui de mon père. Je m'entends mieux avec lui d'ailleurs, du moins, avec les gens qui gravitent autour d'mon paternel que d'ma mère. Ouais bon, en gros, c'est ça... » ♦ Prénoms : « Alec, tout fraîs, tout beau, tout simple. Ma grand-mère maternelle s'appelait Alecto, et est morte à la naissance de ma mère. Un hommage - ou simplement pas sentiment de culpabilité - de ma mère à celle qui l'a mise au monde et qu'elle a tué, au passage. Tut tut, faut pas m'en vouloir, j'vous JURE que je m'entends pas du tout avec ma mère... » ♦ Age : « Récemment eu 24 ans » ♦ Statut ( célibataire, marié, en couple.): « Célibataire, je suis DÉCIDÉMENT pas fait pour la vie de couple, faut même pas penser à ce qui peut venir par la suite, j'crois que ça m'vient seulement dans les cauchemars! »
♦ SHOW ME YOUR DIRTY THINGS
« Elle m'a dit qu'elle couchait pas, fatigue toi pas pour des câlins Harter ». Je pose les yeux sur mon pauvre meilleur ami. On est au lycée, et il a encore rien compris des femmes, putain. Ce serait sympa de ma part de lui faire part d'mes propres découvertes, mais c'est pas comme si j'avais envie de partager cet inestimable trésor. Si Treesha Collins veut pas de ce type, c'est qu'il semble pas assez bien pour elle. Quand on se contente de croire que notre malchance est celle de tout être pourvu de l'anatomie masculine, c'est à y pleurer. Heureusement pour moi, c'est justement le genre de filles difficiles qui m'allument. Qui m'attirent. Vous savez, quand y'a une étincelle qui pétille dans les yeux et que le coeur bat incommensurablement fort dans la poitrine? Moi, j'appelle pas ça dl'amour, mais plutôt du désir. Ce besoin viscéral de prendre son pied et de conquérir, à défaut d'être guerrier ou chevalier « T'es peut-être pas digne d'être son premier, mec, c'tout ». J'esquive le truc qu'il m'balance par la tête - un de ses trophées de football j'crois bien - et j'continue de tirer légèrement sur le joint. C'mon péché mignon, m'accorder c'moment de pur délice et de relaxation. Je l'entends jurer, puis il m'quémande le joint. Minute, minute, j'ai pas consommé c'que j'avais à inhaler mon pote. Je respire profondément une dernière fois, et inhale le maximum de fumée qu'mes poumons peuvent contenir. Comme j'suis un champion de natation - rien de moins, fuck la fausse modestie moi j'dis - je sais vachement bien comment faire pour garder mon souffle. Pratique aussi pour profiter foutrement longtemps d'un baiser, et j'vous dis qu'les filles ont pas l'habitude de s'en plaindre « Tu fais quoi d'Ishtar mon vieux ? Comme d'hab ? ». Je le fixe, à la fois abasourdi et furieux. J'lui balance son oreiller, j'sais pas si ça atteint le joint, mais c'est l'putain de dernier de mes soucis « Qu'est-ce que je fous de Woodler? Bah rien, qu'est-ce que j'en ai à faire d'cette fille-là ». Kaevan me regarde drôlement, et pour la première fois de ma vie, j'ai peur qu'on me perce à jour. J'sais pas quelle magie elle pratique cette fille-là, mais c'est toujours craignos dans mon estomac chaque fois que je la vois...
« Qu'est-ce que tu fous dans les vestiaires des filles Harter? » « Rien qui te concerne directement Woodler, t'inquiète » « Fous le camp, j'te le redirai pas deux fois » « J'me gênerai pas pour dire qu'c'est toi qui m'a invité, mademoiselle perfection ». On s'était regardé droit dans les yeux, fuck, c'était éclectique comme ambiance. Je suppose que le fait qu'elle soit uniquement enroulé dans une serviette blanche et immaculée, que ses cheveux bruns mangeaient ses épaules, trempés, et qu'elle était l'incarnation de tous les péchés du monde. Je me rappelle avoir déglutit de la manière la plus discrète possible. C'vrai que j'avais fait le pari avec les gars de voler le maillot d'une fille de l'équipe féminine, mais j'croyais pas tomber sur elle. À vrai dire, ça aurait été le contraire. Souhaiter la voir, ça arrive pas. Elle tombe carrément sur moi chaque fois que je m'y attends pas, et puis ça me laisse foutrement sans voix. Ishtar Woodler, la seule fille pour laquelle j'aurais maintes fois péché, mais que j'continue pourtant d'éviter. Du moins, j'essayais. Après ce que je peux deviner sous le tissu de la serviette, ça va être dur, putain, qu'est-ce que ça va être dur. Quoique, son caractère a ça de bien qu'il me saoule rapidement « Tu dis n'importe quoi, y'a personne de sensé qui va t'croire ». Je suis piqué au vif. Je suis foutrement loin d'avoir un physique ingrat. Je suis capitaine de l'équipe de natation du lycée. Je fais n'importe quoi, et puis on m'fout pas dehors. C'est que les Paxton sont de généreux membres du Conseil d'administration aussi. Aucun problème pour les héritiers d'cette famille-là, d'autant plus que je suis le seul. J'ouvre la bouche, la referme aussitôt, mais je m'approche d'Ishtar, avec un air vainqueur, malicieux, incroyablement joueur « Woodler, tu devrais plutôt être flattée qu'on s'imagine un truc pareil ». Elle respire lentement, je le sens bien. Ses prunelles brûlent de colère, et bon Dieu d'merde, c'qu'elle est belle « Ta réput, c'est loin d'être un turn-on tu sais ? ». Elle tourne les talons, et part. Je suis des yeux sa démarche féline, délicieuse, et puis je bouille intérieurement. De quoi ? Elle a gagné la manche. J'brûle de désir, d'envie, de ce besoin d'poser mes doigts sur sa peau d'albâtre. Vaut mieux prendre mon mal en patience, ça arrivera tôt ou tard, j'le sais, j'le sens, j'ai BESOIN d'y croire.
« Alec, est-ce que tu veux venir la voir avec moi ? » « Pas le moins du monde ». Mon père me regarde, l'air grave. Je sais que ça l'agace, que mon comportement l'irrite et qu'il me trouve incroyablement enfantin. Je le sais à son regard, car ça fait à peu près mille fois qu'il pose le même sur moi. Je passe ma main dans mes cheveux, et je glisse ma main dans ma poche. Y'a mon paquet de clopes qui est foutrement tentant, mais si j'sors ça devant lui, il va faire une syncope. J'ai beau être pratiquement dans la mi-vingtaine, y'a des trucs que Bruce Harter ne supporte pas, et la cigarette en fait partie. L'alcool aussi, mais ça, ça a pas toujours été ainsi. Mon père a déjà eu une relation tumultueuse avec l'alcool, de l'amour-haine, comme la plupart des alcooliques. Vous savez, quand on est né dans des conditions un peu trop bien, y'a toujours l'effet de la balance. Mon père a été alcoolique, et il s'est joint aux AA y'a sept ans, jour pour jour aujourd'hui. Il y a sept ans, il prenait la voiture avec ma mère. C'était le temps des Fêtes, parce que ma mère adorait s'y prendre à la dernière minute pour faire les achats de Noël. Elle se disait plus foncièrement dans l'esprit des Fêtes. J'ai jamais dit que ma mère n'avait pas de manies bizarres. Reste que mon père était parti au bar tout près pendant qu'elle dépensait pour moi. Pour sa soeur. Pour mon père. Il a repris le volant. Ce jour-là, ma mère s'est « endormie » après un accident de voiture. La vitesse n'était pas en cause. Pas non plus de stop grillé ou de lumières. La malchance, l'effet « balance ». L'alcool au volant, c'est pas bien. Mon père l'a appris à ses dépends quand un récidiviste de ce crime leur a foncé dedans. Ça fait sept ans aujourd'hui, et ma mère dort toujours. Si je la déteste, c'est de ne pas nous revenir. Me revenir. Ça fait un an que je me défile de maintes manières. Aujourd'hui, ça sera difficile, il semble déterminer à me faire plier « Ça lui ferait plaisir ». J'explose. Merde aux cigarettes. Merde aux joints. Merde aux psychologues « T'en sais quoi ? Elle te parle peut-être à toi. C'drôle, fuck, moi, ça fait sept ans que jl'ai pas entendu dire quoi que ce soit. Que dalle, et tu sais quoi? Elle n'entend rien non plus, pas plus tes putain d'explications et d'excuses. Rien, papa, RIEN DU TOUT ». Il fige. Me sent pas mal du tout. Y'a une larme qui glisse sur sa joue. J'me sens peut-être mal un tout petit peu. Il ouvre la bouche, veut dire un truc, mais la referme aussitôt. Me sent peut-être un peu plus mal « Pas aujourd'hui, Alec, pas aujourd'hui ». J'me mords la lèvre. Pas aujourd'hui. Jamais, on dirait. Ce sera jamais le bon moment pour dire la vérité et y faire face. Ma mère, elle nous r'viendra jamais.
♦ MAKE THREE WISHES Qu'elle revienne Ne jamais vieillir Savoir si 2012, c'est vrai
♦ Pseudo : Emmecie ♦ Avatar : Chace Crawford ♦ Comment as tu découvert FG : Bazzart, évidemment ♦ Autres commentaires :
Dernière édition par Alec Harter-Paxton le Jeu 15 Oct - 22:45, édité 3 fois | |
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Patsy U. Vortimer
Nombre de messages : 68 Age : 32 Pseudo : Goddess (a) . Crédits : Mistaken. Date d'inscription : 15/10/2009
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Alec Harter-Paxton
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| Sujet: Re: ALEC • they know i`m priceless. especially ladies. Jeu 15 Oct - 22:00 | |
| HAAAAAAAAAAAN merci pour l'accueil les gens Patsy; HEY (L) mygoshhh nina moi vouloir liennnnnnn =D et Ishtar ton rôle était incommensurablement tentant, d'autant plus que c'était le tien (aa) | |
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Patsy U. Vortimer
Nombre de messages : 68 Age : 32 Pseudo : Goddess (a) . Crédits : Mistaken. Date d'inscription : 15/10/2009
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| Sujet: Re: ALEC • they know i`m priceless. especially ladies. Jeu 15 Oct - 22:08 | |
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