R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur.

GIMME GIMME A MAN AFTER MIDNIGHT

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 1426ctv

MADE BY CHERRYTREE.

NOM :

NICHOLS. D'origine irlandaise, naturellement, Ruben hérita du nom de famille de son père. Une tradition dans sa famille depuis bien des années. Le plus amusant dans cette histoire, c'est que Ruben n'entretient plus aucun lien avec son père. Ils se retrouvent lors des fêtes de famille, mais son père ne lui pardonna jamais de devenir photographe de guerre, alors qu'il souhaitait que son seul garçon reprenne l'entreprise familiale.

PRÉNOMS :

RUBEN. Contrairement aux autres membres de sa famille, le jeune homme ne possède qu'un seul prénom.

AGE :

Actuellement âgé de vingt-huit ans.

STATUT :

En couple avec Bruneï Brusbane.

MAKE THREE WISHES

PSEUDO

CHERRYTREE.

AVATAR :

IAM SOMERHALDER.

COMMENT AS-TU DÉCOUVERT FG :

Par ma Gizmo.

AUTRES COMMENTAIRES :

Le header gère sa grand-mère.

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 291hkeo

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 2qi8dgy

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 2v0d4ky

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. I54p5z

BY CURLY_THE_SUE & ERY_90.

« Il y a tes yeux qui me tuent, quand tu me dis que c’est fini. »

Je me souvenais à peine des traits de son visage, de sa voix cristalline, ou de ses douces caresses lorsque l’anxiété se montrait maitresse. De ce sourire qui effleurait son visage les matins de beaux temps, ses adorables boucles au parfum de vanille. Je n’avais que de brefs souvenirs, qui se rattachaient tous à l’unique photo d’elle qui ne me quittait jamais. Huit longs mois que j’avais passé en Irak, son absence avait été comme un trou dans ma poitrine qui se faisait d’autant plus grand, plus les heures ne passaient. Les rares fois où je me rapprochais le plus d’elle, était lors des brefs coups de téléphones auxquelles tout soldats, médecins ou photographes avaient le droit. Les communications étaient brèves, d’une qualité médiocre. Mais entendre sa voix, ressentir cette amour aussi profond malgré la distance, ne me confortait dans l’idée que c’était elle, et personne d’autre. Et bien que je haïssais me sentir autant dépendant d’un être humain, d’avoir cette impression de me retrouver dans le monde des Bisounours, ne pouvait pourtant pas m’empêcher de pensé à la suite des évènements. Moi, posant un genou au sol avec cette bague qu’une femme Irakienne m’avait offerte avant mon départ. Quand je me remémore les horribles choses qui se sont passées sous mes yeux, cela me fait d’autant plus pensé que la vie est beaucoup trop courte. Mais même le malheur du monde ne pourrait en rien égalée la souffrance intense que j’allais ressentir lors de mes retrouvailles avec la femme que j’appelais devant mes parents « la femme de ma vie ». Cette simple femme avait changée l’homme que j’étais. Une brute épaisse qui finissait ses soirées à décuver dans son appartement, ou au poste de police à cause d’une bagarre un peu trop violente. En même temps, j’étais un Irlandais, et j’étais loin de faire dans la demi-mesure, bien au contraire. Elle avait réussit à apaiser la partie animale de mon caractère, et malgré la profonde souffrance qu’elle allait me faire ressentir, je devais avouer qu’elle m’avait apaisé, et permis de murir un peu plus.

Sinéid ne savait pas la date de mon retour, et c’est dans une totale surprise que j’allais apparaitre face à ses yeux, sur le seuil de notre porte. Le cœur palpitant dans ma poitrine, j’enfonçais la clé dans la serrure, poussant la porte. L’appartement me semblait bien plus petit que dans mes souvenirs, mais beaucoup plus lumineux. J’avais la soudaine impression que des choses avaient été modifiées, changées de place. Posant mon énorme sac sur le sol, j’entendis des bruits de pas rapides, pour finir par voir cette tête brune qui semblait défaillir face à ma présence. Un sourire ému avait finit par se dessiner sur mon visage, pendant que je m’approchais d’elle. Entourant mes larges bras autour de sa taille de guêpe, naturellement, j’avais posé délicatement mes lèvres sur les siens alors qu’elle caressait mon visage, émue. Séparant mes lèvres des siennes, nos regards avaient finit par s’accrocher pour ne plus se quitter. « Tu m’as tellement manqué. » C’est à la suite de ces quelques mots que ses sanglots reprirent de plus belles, comme si je lui avais dis la pire chose en ce monde. « Tu ne m’avais pas prévenu de ton retour. » Dégageant les quelques cheveux qui lui collaient aux joues à cause de ses larmes, j’avais alors affiché un sourire bienveillant. « C’était pour faire une surprise, mais si j’avais su que ça allait te mettre dans cet état, je t’aurais appelé avant. » Un faible sourire se posa sur ses lèvres. Pourtant, malgré ses étreintes, et ses caresses, je la sentais si éloignée de moi. Peut-être était-ce juste une impression, ou en tout cas, j’essayais de m’en convaincre.

Prenant sa main, et mon sac dans l’autre main, je m’apprêtais à partir vers notre chambre quand elle me tira légèrement en arrière. « Ca fait tellement longtemps que je n’ai plus entendu ta voix. » Pas que je n’appréciais pas les moments de retrouvailles, mais le voyage m’avait plutôt fatigué, et je rêvais d’une chose : dormir. Cela semblait égoïste, ainsi soit-il. Me tournant vers elle, avec un fin sourire qui montrait légèrement ma passivité quant à la possible conversation qu’elle voulait entretenir avec moi. Réitérant ma première action, c'est-à-dire, partir dans la chambre, c’est une nouvelle qu’elle me stoppa dans ce geste. Prêt à montrer mon mécontentement, Sinéid ne me laissa pas le loisir de dire un traitre mot, puisqu’elle enchaina aussi vite, remarquant sûrement ma mine soudainement frustré. « J’ai quelque chose à te dire Ruben. » Et c’est à ce moment précis que je compris le malaise, ainsi que la soudaine anxiété dans son regard. « Qu’est-ce qui se passe ? » Mon cœur battait un peu trop fort dans ma poitrine, et mon rythme sanguin semblait allait à une rapidité affolante. Elle tenait toujours ma main droite, qu’elle caressait doucement. Une mauvaise nouvelle. Sinéid n’effectuait que ce genre de gestes quant elle s’apprêtait à annoncer une mauvaise nouvelle. Je l’avais vu de nombreuses fois à l’œuvre. « Je n’avais plus beaucoup de nouvelles de toi, je ne savais pas quand tu allais revenir, ou même si tu comptais revenir. Tu semblais tellement te plaire là-bas. » J’avais beau l’aimé d’un amour sincère, rien que ses quelques paroles m’avaient déjà arrachés une partie de mon cœur. Comment pouvait-elle dirait que cet environnement m’avait plu. C’était loin d’être le cas. J’avais goûté aux dangers, et même si j’aimais mon côté insouciant, toute cette misère m’avait mit le caractère six pieds sous terre. « Je ne me plaisais pas là-bas. Bien au contraire. Les choses qui se passent là-bas. Aucuns êtres-humains ne peuvent ressentir la douleur des gens qui vivent en Irak. » Sinéid ne me quittait pas du regard, et comme si elle n’avait pas écouté un seul de mes mots, elle avait surenchérit. « J’avais peur que tu changes. Même si tu n’étais qu’un photographe, je sais que la guerre peut marquer les vies à tout jamais, et je… » Je connaissais ce refrain. « Où tu veux en venir Sinéid ? »

Soudainement, elle lâcha ma main, et je compris. Sans même qu’elle ne prononce un traitre mot, sans même qu’elle n’affiche un regard désolé. Je savais que les choses étaient terminées, enterrées. Et pourtant, je restais là, la fixant, attendant ma sentence, mon arrêt de mort. « J’ai rencontré quelqu’un d’autre. » Ses mots avaient été douloureux, plus douloureux qu’un coup de poing dans le visage, une balle dans la poitrine, bien pire qu’une blessure physique. Tous êtres humains normalement constitués avoueraient que les blessures au cœur sont plus douloureuses que les blessures physiques. Sinéid me fixait toujours, et sans un mot, sans même un regard que j’avais attrapé mon sac, et avait quitté le salon pour la chambre, où j’avais pris mes autres valises, en commençant à les remplir de mes vêtements. Cela n’empêcha pas mon actuelle petite amie de me suivre, l’entendant sangloter, me suppliant de dire un quelconque mot. Redoutait-elle de voir de la froideur dans mon regard, car à présent, elle allait se heurter à un mur de glace. « Qu’est-ce que tu fais Ruben ? » Mes gestes ne lui semblaient peut-être pas assez explicites. Ou alors, elle était stupide. En réalité, mon bon sens était troublé par le choc et mon mauvais caractère. « S’il te plait, Ruben. » Me stoppant violemment, je mettais tourné vers elle, le regard froid. « Quoi ? Tu pensais que j’allais rester ici, à t’entretenir alors que tu fais tourner par un autre mec. Tu es bien naïve. » La dureté de mes mots l’avait frappé en plein cœur, je m’en étais rendu compte. Et je devais avouer qu’avec un peu de recul, j’avais eu honte de lui parler ainsi. Mais elle avait bien piétiné mon cœur, pourquoi devrais-je lui faire un quelconque traitement de faveur ? « Où vas-tu aller ? » Fermant ma dernière valise, je n’avais même pas relevé le regard vers elle. « Ce n’est plus ton affaire. » Attrapant mes valises, j’avais légèrement poussé Sinéid pour passer. Et c’est au seuil de la porte, je me retournai vers elle, qui semblait étrangement submergé par un trop plein d’émotions. « Le pire dans cette histoire, c’est que je comptais te demander en mariage. Finalement, tu me rends service. » Je venais de lui administrer le coup de grâce. Histoire qu’elle souffre autant que je souffrais à ce moment précis. Puis, j’avais laissé les clés sur le petit meuble de l’entré, fermant la porte derrière moi.

« Elle a jeté mon âme à bouffer au néant, me laissant le cœur vide. »

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 332xnk0

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. Mwxylj

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 2wlsdg0

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 4pb1ona

BY THESHINYGIRL & ILLUMINAATIONS & ERY_90.

« A la lumière obscure, je te croise enfin, ô Dieu, que tu es belle. »

Dès l’instant où j’avais quitté l’Irlande, ma vie avait finit par ressembler à une routine, une obscurité si proche, que j’avais peur de sombrer. L’alcool était presque devenu mon meilleur ami, et pourtant, je m’habituais bien à la vie américaine. Car oui, j’avais quitté l’Irlande, l’île verte, pour les buildings et la pollution des États-Unis. San Francisco. Ma vie semblait lassante, je travaillais dans un petit salon de photographie, le responsable m’avait immédiatement engagé quand il avait apprit que c’était moi qui avait fait « c’est incroyable photographie, et surtout bouleversante de tristesse » en Irak. Ma place était confortable, mon salaire aussi. J’avais pu me payer un bel appartement. Mais le rêve américain ne m’attirait pas, car malgré le rythme intense de cette ville, mon Irlande natale me manquait terriblement. Mais ma vie aux États-Unis allait prendre un goût intéressant, et unique, dès le moment où mon chemin allait croiser cette blondinette au corps plus qu’avantageux. J’étais alors sagement assis à une terrasse, une tasse de café qui fumait devant moi, mon appareil photo autour du cou comme si j’étais un de ses touristes, quand soudainement, un véritable rayon de soleil m’avait… éblouie. Si je pouvais dire cela sans paraitre nié. Et c’est dans un instinct ou une envie, que je commençai à prendre en photo cette fille ravissante, lumineuse, et naturelle. D’ailleurs, moi, Ruben, je n’essayai en rien de me cacher, la fixant, l’objectif en main. Comme un de ses espèces de voyeurs, ou comme si elle se trouvait être une célébrité, et moi un paparazzi. Mais malchanceux comme pas deux, au moment où j’allais la photographier à nouveau, elle se tourna vers moi. Faisant comme si de rien était, j’allais alors reposer mon appareil, portant ma tasse à ma bouche. Espérant qu’elle ne vienne pas jusqu’à moi, de peur de devoir faire les frais d’une scène. Mais mes souhaits n’avaient pas été entendus, puisqu’elle se trouvait à ce moment précis posté devant moi, ou plutôt assise devant moi.

« Ca vous arrive souvent de photographier des inconnus ? » Posant ma tasse délicatement sur la table, j’avais alors posé mon regard sur elle, un sourire ironique. « Qui vous dit que j’étais entrain de vous photographier ? » Seul détail, j’avais posé mon appareil photo sur la table, et avant que je puisse réagir – il me semblait avoir de bons réflexes en temps normal – elle tenait déjà mon énorme appareil entre ses fines mains de poupée. Je l’entendis lâcher un bref ricanement, qui ressemblait plus à un couinement d’ailleurs. « Et en plus de ça, vous mentez. Je pourrais vous prendre pour un obsédé sexuel, et vous collez un procès au cul. » Je ne pu retenir un petit rire, et un haussement de sourcils. « Si vous comptiez vraiment faire ça, je doute fortement que notre conversation aurait eu lieu. » Visiblement, je venais de marquer un point puisqu’elle ne protesta pas. Je la voyais, entrain de manipuler mon appareil photo, ce même appareil photo qui m’avait servit pour mon petit séjour en Irak. « J’ai une idée. » Alors que je tenais toujours la tasse entre mes mains pour boire une nouvelle gorgée, je lui montrai que j’étais toute ouïe. « Puisque vous aimez tellement photographier les étrangers, je garderais votre appareil photo jusqu’à notre prochaine rencontre. » Je n’étais pas particulièrement ouvert à cette idée, déjà que je n’appréciais pas beaucoup de la voir en possession de mon appareil photo, qui était sûrement l’élément le plus important de ma vie actuelle. Et pourtant, d’un ton enjoué, j’avais enchéri « Cela implique un rendez-vous alors. » Et cela impliquait bien un rendez-vous, car je n’acceptais d’aucunes façons, de la laisser en possession de mon appareil, trop longtemps. Je la photographiais peut-être, mais je ne lui faisais pas confiance. Comme à toutes personnes possédant un vagin, et une poitrine. Depuis Sinéid, les femmes avaient perdu tout intérêt à mes yeux. Et non, je n’étais pas devenu gay. « De toute façon, je ne vous laisse pas le choix. Je ne laisse pas mon appareil photo en possession d’inconnus. » Semblant très amusé par ma réaction, elle me lança. « Pourtant, cela ne vous dérange pas de photographier ces dits inconnus. »

Et de ma voix la plus charmante, je lui annonçai avec un sourire, un brin charmeur. « Je ne photographie que les belles choses. » Bien que cela me semble flatteur, puisqu’en gros, je lui disais qu’elle était belle, son visage se ferma subitement, et d’une voix plutôt froide, elle me lança de but en blanc. « Alors, pour vous, les femmes sont des choses ? » J’avais oublié combien les filles pouvaient toujours tout comprendre de travers. Finalement, viré de bord me semblait soudainement un point de vue intéressant. « Non, ce n’est… » Mais encore une fois, je ne pu en placé une. « Oh et enlevez moi ce sourire de charmeur. Vous êtes peut-être très beau, mais cela ne laisse en aucun cas le droit de réduire le statut des femmes en tant qu’objets, ou choses, pour reprendre vos paroles. Nous n’avons peut-être pas de couilles, mais nous avons l’intelligence, et la grâce, ce que les hommes n’ont pas. » Les quelques personnes présentent autour de nous semblaient fixés notre conversations, ce qui me mettait soudainement mal à l’aise. « Excusez-moi, je me suis mal exprimée, je voulais juste dire combien vous êtes belle. Je ne souhaitais en rien dénigrer les femmes. Parce que, soyons franc, que serait le monde sans les femmes. » Bon, je sortais un cliché incontournable, mais cela sembla la calmé. « Pour me faire pardonner, je vous invite au restaurant demain soir. » Et c’est ainsi que les choses s’étaient passés entre Bruneï et moi, une rencontre tumultueuse, et une histoire d’amour tout aussi tumultueuse.

« Combien tu vends ta liberté, dis, combien tu vends ta poésie.
Moi j’ai même vendu mon âme au diable, pour ton sourire. »

Qui aurait pu croire qu’un jour, je retomberais amoureux. Dès ma rupture avec Sinéid, dans mon esprit, les choses avaient été claires. Finir vieux garçon. Parce qu’à l’époque, j’étais persuadé que Sinéid était mon âme sœur, la femme de ma vie, la mère de mes futurs enfants. Mais ces pensées avaient été troublées dès mon premier baiser avec Bruneï. Dans le fond, Bruneï et Sinéid n’était pas bien différentes, sauf physiquement parlant. Puis, Bruneï m’apaisait, tout en m’énervant à un point extrême. Et pourtant, dès qu’elle apparaissait sous mes yeux, mon cœur se mettait à palpiter un peu trop vivement dans ma poitrine. Je voulais lui offrir tout ce qu’il y avait de bon sur cette terre, et malgré nos disputes particulièrement régulières, je l’aimais profondément. Oui, je l’aimais, et je l’aime toujours. Seulement, je n’arrive pas à lui dire. Sinéid m’a tellement brisé le cœur que j’ai peur de le donner une seconde fois, et qu’on l’utilise une nouvelle fois. Pourtant, je ne me rendais pas compte que les rôles étaient inversés, et que c’était moi qui détruisais celui de Bruneï. Toutes filles souhaitent entendre les mots « Je t’aime » et pourtant, malgré nos deux ans de couple, je n’arrivais toujours pas à lui dire. Je ne doutais pas de mes sentiments envers elle, mais il m’était impossible de sortir ces mots de ma bouche. Mes simples réponses étaient des « Moi aussi » ou des « Je t’aime beaucoup ». Jamais je ne lui avais parlé de mon histoire avec Sinéid, je ne voulais pas qu’elle voit le côté faible de ma personnalité, et de mon passé. Elle qui aimait tellement l’Irlandais caractériel que je suis, qui tape sur tout garçon la regardant d’un peu trop près. Le garçon qui brise des vases ou des assiettes pendant une dispute comme si j’étais un dramaturge ou plutôt un comédien. Le genre de garçon à s’énerver pour pas grand-chose. Qu’adviendrait de notre couple si elle connaissait ma part de faiblesse, de sensibilité ? Malgré mes interrogations, je savais qu’elle avait prit possession de mon cœur. L’avoir dans mes bras la nuit, la voir se réveiller alors qu’elle a une haleine immonde, et l’embrasser malgré tout. Lui préparer son petit déjeuner. Me brosser les dents près d’elle. L’empêcher de voir ses émissions de filles par mes baisers continuelles, jusqu’à temps qu’elle craque, pour finir par faire des choses peu catholiques sur le canapé du salon. De simples choses qui me faisaient dire : C’est elle, et personne d’autre. Mais, ne m’étais-je pas dis la même chose pour Sinéid ?

« Il y a ton sourire qui s'élève,
C’est comme une lueur d’espoir. »

MA KIRBYYYY. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 672818

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 199575

Comment elle gère ta bannière. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 956675

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 648951

JE T'AIME. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 64581

Ruben Nichols a écrit:: Le header gère sa grand-mère.

HANNN MERCI R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 672818

BIENVENUE

BIENVENUUUEEE AUDREYYCHOUUTEEE.
( acceuil un peu trop chaleureux. )

Bruneï Lynch a écrit:: MA KIRBYYYY.
Comment elle gère ta bannière.
JE T'AIME.

MA GIZMO.

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 655796

Merci. J'en suis un peu fière, je dois avouer. Razz

Je t'aime aussi. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 633546

EARTH • De rien. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 672818

MERCIII.

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 756678

ISHTAR • SHINOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOU (bah ouais, tu m'as trouvée un surnom, moi aussi Laughing

)

Ruben Nichols a écrit:: MA GIZMO.
Merci. J'en suis un peu fière, je dois avouer.
Je t'aime aussi.

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 763376

UN PEU SEULEMENT ? Shocked

Et puis, c'est quoi cet avatar ?! R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 905188

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 823594

Tu sais combien je suis critique envers mes créations. Laughing

Oh tu vas pas commencer hein. Ton avatar est très beau, un point c'est tout. Mad

Oui je sais, alors t'as pas à m'engueuler.

Et ce, pour la même raison. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 9079

Comment tu me l'as fais à l'envers là. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 751553

Je t'aime. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 672818

Bah ouais attends non mais oh! R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 905188

Moi aussi je t'aime. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 64581

Je suis outrée par tant d'intelligence. Razz

J'ai un trop plein d'amour ce soir. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 64581

C'est petit ça! Shocked

Tu pensais vraiment que j'étais une 'pas douée' Shocked

Je vois ça. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 672818

Mon lit m'appeeeeeelle!

Même pas vrai, j'ai jamais dis ça, D'ABORD. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 112495

Tu l'as pensé.

Mais je ne t'en veux pas parce que tu as raison. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 751553

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 297310

Comment c'est trop pas vrai, wesh. Laughing

Désolée pour le double post, mais je pense avoir terminé.

Merci pour l'haleine.

Braaaaaah c'est trop R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 64581

JE VALIIIIDE R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 956675

Je t'en prie, c'est cadeau. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 885659

MERCIIIII. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 672818

Espèce de tortionnaire! R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 751553

T'auras le droit d'inventer des tas de trucs sur Ruben, genre, il laisse des cheveux partout, il rince pas le lavabo quand il se rase, il fou du gel partout, même sur le miroir (vas savoir comment il fait) R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 885659

TU VEUX M'EPOUSER ? R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 885659

Han mais j'y compte bien attends. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 905188

TOI OU RUBEN ? R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 885659

Genre, il se cure le nez à table. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 751553

Trop SE-XY. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 9079

RUBEN... LES DEUX. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 885659

Non, tout mais pas ça. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 751553

OUIIIIII pour Ruben R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 672818

mais je suis déjà mariée. R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur. 672818

Présentations

R. NICHOLS; Acide à s’en brûler le cœur.

Présentations

Présentations